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Conclusion
A travers nos expériences et nos exploitations, nous avons pu répondre à nos problématiques.
Un ou plusieurs modèles constituent un mouvement selon le type de chute : chute libre ou chute avec résistance à l’air.
Une chute libre se modélise par une seule formule mathématique représentante d’une droite affine (lorsque le corps n’a pas de vitesse initiale).
On a donc : V = k*t
En revanche, une chute avec résistance dans l’air se modélise avec deux ou plusieurs modèles mathématiques représentants une fonction exponentielle.
Sachant que certains corps peuvent d’abord être en chute libre, puis être soumis aux forces de frottements dues à l’air.
En effet plus la vitesse et la surface d’un corps sont importantes, plus la force de frottements agissant sur celui-ci est intense, on distingue ce phénomène par une analyse énergétique plus particulièrement, l’étude de l’énergie mécanique exercée sur le corps en chute.
Si l’énergie mécanique est constante, les forces de frottements n’agissent pas sur le corps en chute. Le corps en chute est alors uniquement soumis à son poids.
En revanche, si l’énergie mécanique ne se conserve pas, et donc que sa courbe représentative n’est pas une droite constante, alors l’objet n’est pas soumis uniquement qu’à son poids. Les forces de frottements et le poids du corps agissent sur celui-ci.
C’est pour cela qu’un corps peut réaliser deux types de chutes : une chute libre et une chute avec résistance à l’air.
Existe-t-il d’autres forces agissant sur un corps et qui en modifie son type de chute ?
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